que se passe-t-il a gpso - Le blog de La ruche (alternatives écologiques et solidaires à Vanves)
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22 octobre 2011 6 22 /10 /octobre /2011 11:35

L'Agence locale de l'énergie (ALE) de GPSO propose un Atelier découverte Samedi 5 novembre.

Animé par un Conseiller Énergie, cet atelier donnera l’occasion aux participants de se familiariser avec les caractéristiques techniques des isolants, et de découvrir une large gamme d’isolants naturels, parfois assez originaux !

L’atelier mettra en avant des caractéristiques thermiques à prendre en compte dans le choix d’un isolant : conductivité thermique, résistance thermique, masse volumique… Toutes ces notions n’auront plus de secret pour eux !

De nombreux isolants naturels seront également présentés : de la laine de mouton à la fibre textile, en passant par le liège expansé… Une belle opportunité de découvrir des matériaux d’isolation encore méconnus mais aux avantages certains.

Samedi 5 novembre 2011 (10h-12h)

Rendez-vous à la Maison de la Nature à 9h45  (14 ruelle des Ménagères, Meudon)

Inscription obligatoire au numéro vert 0800 10 10 21, nombre de places limité.

www.gpso-energie.fr

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20 octobre 2011 4 20 /10 /octobre /2011 11:51

L'Agence locale de l'énergie (ALE) de GPSO organise le 24 novembre une rencontre pour les copropriétaires se posant des questions sur les économies d’énergie dans leur immeuble et ne sachant pas comment s’y prendre. Afin de les aider à y voir plus clair, l’ALE leur donne rendez-vous le jeudi 24 novembre à Sèvres pour une conférence sur la rénovation énergétique en copropriété.

Les 7 communes de Grand Paris Seine Ouest présentent un parc résidentiel constitué à 90% de bâtiments collectifs, essentiellement des copropriétés construites pendant la période d’après-guerre, où les considérations thermiques n’étaient pas prioritaires. La majorité de ces immeubles doit aujourd’hui faire l’objet d’une réhabilitation, dans le but de réduire les charges collectives et de faire des économies d’énergie. Néanmoins, il est souvent très difficile de mettre en place des plans de travaux relatifs aux économies d’énergie dans ces copropriétés.

La conférence proposée par l’Agence Locale de l’Energie et animée par plusieurs spécialistes, dont le conseiller énergie de l’ALE en charge des copropriétés, sera l’occasion d’aborder les différents aspects de cette problématique : marche à suivre, outils existants et écueils à éviter. Un retour d’expérience d’une copropriété qui s’est lancée dans cette opération leur sera également proposé.

Jeudi 24 novembre 2011 (19h00 – 21h00)

Salon Saint Omer – Hôtel de Ville de Sèvres 54, Grande Rue – SEVRES

Entrée libre (sous réserve des places disponibles)

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26 septembre 2011 1 26 /09 /septembre /2011 18:07

Cet été, les combles de l’Ecole Gambetta à Vanves ont été isolés de façon performante, l’isolation de la toiture correspondant désormais au niveau BBC. Particularité de cette opération : la mise en œuvre d’un éco-matériau, la ouate de cellulose. Zoom sur cette opération exemplaire.

Qu’est-ce que la ouate de cellulose ?

La ouate de cellulose est constituée à plus de 90% de journaux recyclés et broyés. C’est ainsi un produit intéressant d’un point de vue écologique car issu du recyclage. Le reste est constitué d’additifs (hydrate d’alumine, sel de bore ou équivalent) qui confèrent à l’isolant ses capacités antifongiques et de résistance au feu.

Des exigences élevées : niveau BBC

30 cm de ouate de cellulose (soit environ 26 cm après tassement, si on considère un tassement de 12%) ont été mis en œuvre sur l’école Gambetta. Avec une conductivité thermique de 0,037 W/m.K, ils permettent d’atteindre une résistance thermique d’environ 7 m².K/W, ce qui correspond aux exigences du label Bâtiment Basse Consommation.

Une mise en œuvre permettant un chantier rapide

- Un technicien alimente la machine en ouate de cellulose qui va être broyée et envoyée dans un tuyau qui passe dans les combles.

- Grâce à une télécommande, un autre technicien commande la machine depuis les combles et oriente le tuyau de façon à projeter la ouate de façon uniforme sur le plancher des combles. Cette mise en œuvre permet un chantier rapide (de 2 semaines).

Une fiche technique relative à ce chantier est en cours d'élaboration. Elle sera disponible prochainement.

Lu sur le site de l'Agence de l'énergie de GPSO

http://www.gpso-energie.fr/articles/isolation-gambetta

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7 avril 2011 4 07 /04 /avril /2011 12:11

Le Conseil de la communauté d'agglomération Grand Paris - Seine Ouest a voté son Agenda 21 le 31 mars 2011. Vous pouvez le consulter et le télécharger sur le site de l'agglo

Vous pouvez aussi prendre connaissance de ses grandes lignes dans le bus du rallye du développement durable qui stationnera sur la Place de la République de Vanves samedi 9 avril.

L'idée des agenda 21 est née du Sommet de la terre de Rio, en 1992. La prise de conscience des dangers qui menacent notre planète a poussé à définir pour le 21ème siècle des plans d'action territoriaux. Les agendas 21 s'occupent des divers aspects du développement durable : sociaux, environnementaux et économiques. Les Plans climat-énergie, qui en sont un des volets, cherchent à diminuer l'utilisation d'énergies non renouvelables, ainsi qu'à limiter et anticiper le changement climatique

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14 janvier 2011 5 14 /01 /janvier /2011 15:25

Vous avez encore quelques jours pour remplir le questionnaire sur l'Agenda 21 de votre communauté d'agglomération  Grand Paris - Seine Ouest. La Ruche vous a déjà parlé de cet Agenda 21 au moment de la concertation qui a eu lieu l'été dernier.

Le questionnaire a été inséré dans les magazines municipaux des sept villes de l'agglo. Pour Vanves, c'était en décembre. Vous devez répondre avant le 31 janvier. Vous pouvez aussi répondre en ligne sur le site de la Mairie http://www.ville-vanves.fr ou de GPSO http://www.agglo-gpso.fr

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26 novembre 2010 5 26 /11 /novembre /2010 12:08

A l’occasion d’un premier Forum de l’écorénovation, plusieurs villes desHauts-de-Seine présentent une carte thermique du territoire, qui concerne plus de 300 000 habitants..

Bleu, rouge, violet, vert, jaune… Les habitants de Grand Paris Seine Ouest (Boulogne, Chaville, Issy, Meudon, Sèvres, Vanves et Ville-d’Avray) vont découvrir laquelle de ces teintes correspond à leur habitat, aujourd’hui et demain à l’occasion du premier Forum de l’écorénovation à Boulogne-Billancourt. GPSO expose en effet la carte réalisée le15 février dernier grâce au survol des sept villes par un avion équipé d’une caméra thermique.

L’image permet de distinguer avec une rare précision quelles toitures accusent les plus fortes déperditions de chaleur. « Le toit représente un élément important de perte énergétique, explique Pierre-Christophe Baguet, député-maire (UMP) de Boulogne et président de GPSO. Si on l’isole convenablement, cela peut représenter une économie de 30%.

Des caméras thermiques d’une grande précision.

C’est en début d’année, dans la nuit du 15 février, que l’appareil de la société parisienne ITC (Infrarouge Technologie Contrôle), un bimoteur Cessna, a survolé les 32 km2 de la communauté d’agglomération pour mesurer les déperditions de chaleur. « Les relevés doivent se faire en hiver et de nuit afin de pouvoir mesurer les pertes au niveau des toits quand les habitants sont chez eux, le chauffage au maximum », explique Stéphane Gouttebessis, directeur du bureau d’études ITC qui réalise des diagnostics thermiques depuis 1988, soit bien avant la prise de conscience écolo. Concrètement, l’appareil équipé de deux caméras thermiques enregistre pendant près de trois heures des milliers d’images avec une précision de 50 cm. La société traite ensuite les données pour reconstituer l’ensemble du territoire, étape qui peut prendre trois mois. Coût de l’opération pour GPSO : un peu plus de 50000 €. Si la carte est disponible à partir d’aujourd’hui sur le site Internet de la communauté d’agglomération, elle ne peut en aucun cas être utilisée par des entreprises de rénovation dans le cadre de démarchage sauvage. GPSO n’a en effet mandaté aucune société pour inciter les habitants à faire des travaux.

Sensibiliser le public de façon concrète

Les visiteurs vont donc visualiser dans quelle catégorie se situe leur maison ou leur immeuble. Il leur suffira d’indiquer leur adresse à l’un des conseillers présents qui leur montrera sur un écran d’ordinateur dans quel groupe ils se situent. « Le but de cette opération est de sensibiliser le public de façon concrète, avec deux objectifs : préserver la planète et réduire la consommation d’énergie », souligne Bernard Gauducheau, maire (Nouveau Centre) de Vanves et vice-président de GPSO chargé de l’environnement. Les habitants des nouveaux ensemble certifiés HQE (haute qualité environnementale), comme le Trapèze à Boulogne ou les Chartreux à Issy-les-Moulineaux, peuvent s’attendre à repérer leur habitation grâce à la couleur bleu foncé, signe de bonne performance énergétique. Pour ceux qui vivent dans des quartiers plus anciens, comme celui du Pont-de-Sèvres ou les immeubles Pouillon à Boulogne, ils doivent s’attendre à de l’orange, voire du rouge. Pour montrer la voie, les sept municipalités de GPSO ont également reçu un dossier spécifique concernant les bâtiments publics. « A Vanves, nous avons un patrimoine ancien, conçu à une époque où on ne parlait pas d’économie d’énergie, ajoute l’édile. Il y a donc un gros travail à faire pour être exemplaire. » Premier Forum de l’écorénovation, aujourd’hui de 14 heures à 18 heures et demain de 10 heures à 18 heures, à l’espace Landowski, 28, avenue André-Morizet. Mo Marcel-Sembat. Renseignements sur www.agglo-gpso.fr.

Des conseils pour passer à l’action.

Au-delà de l’aspect ludique, les visiteurs pourront obtenir des réponses concrètes à leurs problèmes d’isolation, de déperdition de chaleur ou de consommation d’énergie auprès des experts et des professionnels qui participent au forum. « Evidemment, personne n’est obligé de faire des travaux, mais ce rendez-vous permet de proposer des solutions et d’accompagner les habitants dans leurs démarches », explique Bernard Gauducheau, chargé de l’environnement à la communauté d’agglomération Grand Paris Seine Ouest.

Les services de GPSO vont en effet profiter de l’occasion pour présenter les subventions qu’ils proposent aux habitants souhaitant s’équiper de matériel plus économe. Ainsi, ceux qui s’équipent d’une pompe à chaleur géothermique peuvent percevoir 800 € ou 1200 € pour une isolation de toiture. Par ailleurs, toute l’année, un conseiller info-énergie propose des permanences d’information gratuite sur les énergies renouvelables et les manières d’agir pour réduire sa facture d’électricité, d’eau, de gaz… et préserver la planète.

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22 novembre 2010 1 22 /11 /novembre /2010 19:01

GPSO, la communauté d'agglomération Grand Paris Seine Ouest organise  vendredi 26 et samedi 27 novembre un Forum de l'écorénovation

 http://www.agglo-gpso.fr/environnement/forum-de-l-eco-renovation

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13 novembre 2010 6 13 /11 /novembre /2010 11:55
Un article  de Marie-Anne Gairaud, paru dans Le Parisien du 10 novembre 2010
Alors que le vol des hélicoptères devrait être fortement réduit à Issy-les-Moulineaux d’ici à 2014, l’Etat planche sur de nouveaux sites de dépose. Voici en exclusivité leur implantation.

L’annonce a été faite discrètement fin septembre. Depuis, elle ne s’est pas ébruitée. Et pour cause : elle pourrait avoir l’effet d’une bombe. Alors que depuis des années la mairie de Paris négocie avec le ministère des Transports pour réduire le trafic de l’héliport d’Issy-les-Moulineaux qui empoisonne la vie des riverains, la ville a appris que deux autres lieux de dépose en hélicoptère pourraient voir le jour à Paris.

 Une au nord, dans le quartier de la porte d’Aubervilliers (XVIIIe-XIXe) et l’autre à l’est, du côté de Bercy (XIIe).

 En fait, d’après la carte que nous nous sommes procurée, l’Etat étudie actuellement différents sites d’implantation sur Paris et la banlieue. En plus des portes parisiennes, il est ainsi envisagé d’implanter un héliport du côté de La Défense et un autre dans la boucle Seine-Nord, du côté de Gennevilliers - Villeneuve-la-Garenne.

Trop près du futur ministère de la Défense

Le projet émane du secrétaire d’Etat aux Transports, Dominique Bussereau. Objectif recherché : pallier la prochaine baisse du trafic de l’héliport d’Issy-les-Moulineaux. D’ici à 2014, le nombre de vols sur ce site devrait passer de 12000 à 3000 par an. Seules les missions de « service public » et d’urgence y seront maintenues. « Le futur siège du ministère de la Défense, le Pentagone à la française, va être implanté tout près. C’est pour cette raison que l’Etat a finalement accepté de réduire le trafic de l’héliport d’Issy-les-Moulineaux comme nous le demandions depuis des années. Mais, si c’est pour ouvrir d’autres infrastructures ailleurs, c’est se moquer du monde! » s’agace Michel Riotto, président de l’association Ile-de-France Environnement.

Le secrétaire d’Etat aux Transports, lui, juge au contraire nécessaire d’améliorer la desserte de Paris. Après la réunion du 30 septembre, l’Etat veut aller vite. Très vite. « Chaque site potentiel fera l’objet d’une concertation avec les collectivités et riverains concernés d’ici la fin 2010 », annonce un document de travail. « Tout ça est en cours de discussion », tempère-t-on à la préfecture. « Une concertation ? Quelle concertation ? Nous, personne n’est venu nous voir », s’étonne Denis Baupin, l’adjoint au maire de Paris chargé du développement durable. « Tout ça manque de transparence. En plus, c’est en totale contradiction avec le plan de lutte contre le bruit que nous sommes en train d’élaborer. De toute façon, si nous luttons depuis des années pour limiter les nuisances de l’héliport d’Issy-les-Moulineaux, ce n’est pas pour en voir deux autres ouvrir ailleurs », annonce l’élu parisien.

Les réactions : entre soulagement et inquiétude

Dans le sud du département, c’est le soulagement. « C’était l’enfer, surtout le week-end. Les nuisances étaient plus réduites par mauvais temps. Cette décision est évidemment une bonne nouvelle pour les habitants des communes voisines de l’héliport d’Issy-les-Moulineaux », analyse Alain Mathioudakis, président de l’association Val de Seine vert.

« On ne peut que se réjouir de la fin des vols commerciaux depuis Issy. Ce sera vraiment une bouffée d’air pour les riverains, ajoute Catherine Candelier, conseillère municipale Europe Ecologie à Sèvres. Après, si le trafic n’est que reporté sur le nord du département ce n’est pas non plus la solution : on ne fait que déplacer le problème. Pour les vols commerciaux, l’hélico n’est pas un moyen de transport écologique ni économique. »

Dans la boucle nord des Hauts-de-Seine en revanche, les élus n’ont pas entendu parler du projet. Mais ça ne devrait pas tarder… La préfecture a pris contact avec la municipalité de Gennevilliers pour aborder le sujet. Jacques Bourgoin, le maire (PC) de la commune, s’est pour l’instant refusé à tout commentaire : « J’attends d’avoir le dossier. Je n’ai aucune idée, en l’état, des avantages et des inconvénients d’un tel projet. »

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6 octobre 2010 3 06 /10 /octobre /2010 10:41

La communauté d'agglométation Grand Paris Seine Ouest (GPSO) recherche des volontaires. Il est encore temps de se proposer.

http://www.agglo-gpso.fr/dechets-et-proprete/actus/devenez-foyers-temoins-reduisez-vos-dechets

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1 octobre 2010 5 01 /10 /octobre /2010 22:20

Dans le cadre du Programme de prévention de la production des déchets, notre communauté d'agglomération GPSO (Grand Paris Seine Ouest) s'intéresse au compostage en pied d'immeuble. Elle a organisé mardi 28 septembre la visite d'un site dans le 12ème arrondissement. Visite convaincante sur la faisabilité de la chose en zone bâtie dense. GPSO ne devrait pas tarder à inviter des habitants de notre territoire à s'y mettre. Que les volontaires se fassent connaître!

Voici le compte-rendu de la visite envoyé par GPSO à l'une des abeilles qui a pu y participer.

  

Un des objectif du Grenelle de l'environnement est de réduire de 7% en 5 ans les déchets produits par la population française. Le compostage domestique est une des solutions pour réduire la part des déchets organiques jetés dans les bacs d'ordures ménagères.

Depuis quelques années, des expériences de compostage collectif en pied d'immeubles ont été lancées avec succès en province (Rennes…°).

Pour la réussite d'un projet de compostage collectif, il faut :

-  un référent identifié, impliqué et motivé tout au long du projet

- un espace disponible et accessible d'environ 10 m2 minimum

- au minimum 10 foyers volontaires.

L'espace doit disposer d'un point d'eau, d'un bon ensoleillement et il faut prévoir un abri de jardin pour le matériel (outillage, fourche, brouette, pelle, broyeur…).

Pour 20 foyers, il faut prévoir 2 composteurs de 600 litres et 1 de 400 litres pour le broyat indispensable à la régulation de l’humidité du compost (matières sèches : feuilles, copeaux de bois…).

 

107 rue de Reuilly, premier site expérimental de compost collectif à Paris

 

Environ 500 logements, 70 foyers participants, mis en place par le bailleur PARIS HABITAT et Mr Jean-Jacques Fasquel, résident.

Ce site est né du souhait de M. Fasquel de pouvoir composter ses propres déchets organiques. Il a engagé des démarches auprès du bailleur et de la mairie de son arrondissement pour obtenir l’accord et les aides nécessaires au lancement. Un premier temps réticent, le bailleur s’est proposé de prendre la totalité de l’installation à sa charge face au succès de l’opération.

Suite à un appel à volontaires (30 foyers au départ), le compostage a d’abord débuté sur une petite partie du jardin situé à l’écart des habitations. L’initiative a rencontré un vif succès et a réellement contribué à créer un lien social nouveau, permettant aux habitants de mieux se connaître, de partager un projet commun, et ce toutes générations confondues.

Après deux années d’existence, l’opération a pris une toute autre dimension. Le site a été aménagé avec des panneaux d’information. Un jardin potager a été créé, qui recueille le compost produit sur place. Des ruches ont été installées avec le concours d’un apiculteur pour favoriser la pollinisation. Les participants sont allés jusqu’au bout de la démarche, engageant une réflexion sur leur façon de se nourrir, de cuisiner, de gérer le jardin et d’y favoriser la biodiversité. D’un point de vue social, cette expérience a également permis un véritable partage des connaissances. Le référent a pu, petit à petit, compter sur l’implication des autres participants pour assurer l’entretien de l’espace et le suivi du compost.

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